Chrysotribax rutilans ssp. rutilans DEJEAN 1826

Je  connaissais Jésus à travers ses miracles.
La multiplication du pain et surtout du picton entre autres mais ne savais absolument pas qu'il était entomo.

Du coup Robert, les femelles étaient amplement suffisantes.

A peine dans le bac, accouplement.

Jesus(j'ai eu) peur qu'il demande de l'aide à l'archange Gabriel!!!

Thierry Deuve ne retient même plus "frontanyaensis" dans son dernier catalogue...
même pas comme sous-espèce faible c'est pour dire !

je connais très bien cette bête que j'ai observée dans de nombreuses localités, et ce à maintes reprises. il faut reconnaître qu'elle a un petit quelque chose, la brillance de l'"aragonensis" (qui lui-même ne peut-être retenu que comme natio) et les fovéoles et quelques autres détails de delacrei par exemple, il est parfois impossible de classer certains exemplaires même dans le Locus Typicus. On se demande tout simplement s'il n'est pas préférable de mettre se taxon en synonymie ? C'est une discussion à avoir, plusieurs entomologistes de renom me rejoignant là-dessus.

justement je suis en train d'écrire une réponse à l'auteur qui me reproche dans le coléoptériste de septembre 2016, de ne faire que de l'entomologie de salon et de ne mettre en avant aucun argument scientifique (faudrait vraiment que M. Mollard me relise correctement) ,moi qui pratique la région depuis 17 ans maintenant, parfois plusieurs fois par an et qui explique très clairement ma logique avec D. Maguerre..

bref j'aimerais en débattre avec lui sur le forum, arguments contre arguments, deux visions des choses, deux logiques qui se respectent finalement...

Donc, je rectifie.

Chrysotribas rutilans
ssp rutilans
DEJEAN 1826.
Point barre.

Robert, chacun fait comme il lui plait, je reconnais que ces bêtes ont une "tendance" un peu différente du type mais le CINZ ne retient pas les taxons infra-subspécificiques, donc bye bye les natios...

je regardais encore mon matériel aujourd'hui même, certains spécimens de San Jeaume sont impossibles à différencier des rutilans français par exemple ceux que l'ont trouve dans les environs de Corsavy, ou d'ailleurs comme Prats, d'autres encore ont des fovéoles bien marquées, les primaires presque pas teintées, les interstries très brillantes, vert, mais ces individus ne représentent pas la majorité, loin de même, cette population s'intercale parfaitement entre delacrei, rutilans et "aragonensis". Vers le col Coubet la tendance s'estompe encore un peu plus ce qui me fait penser plus à un ancien métissage stabilisé...

maintenant en sélectionnant en collection des exemplaires bien "typés" on peut facilement en conclure de cette population mérite mieux qu'une simple mise en synonymie, le problème c'est que les caractères ne sont pas constants et ne touchent pas l'ensemble de la population

Merci pour ta réponse.

J'avais mis n. frontanyaensis pour que tu interviennes afin d'avoir vraiment ton idée et de bonnes explications à ce sujet.